Georges Yoram Federmann accueille ses patient(-e)s au 5 rue du Haut-Barr à Strasbourg, dans ce qu’il qualifie de «ghetto juif» (1), à proximité de la grande synagogue. Pas de plaque à l’entrée de l’immeuble, pour marquer sa différence avec l’ensemble de ses confrères.
Seul psychiatre à ne pas imposer de rendez-vous, il assure une présence, une écoute, quasi-constantes, non pas pour la jet-set locale, mais en faveur des laissé(-e)s pour compte qui viennent le consulter, souvent sur les recommandations de médecins, d’avocat(-e)s, militant(-e)s comme lui. L’ultime recours pour les démuni(-e)s, les privé(-e)s de presque tout, les «damné(-e)s de la terre et de la mer»!
Cet anticonformiste à l’apparence décontractée (ah, ses T-shirts avec un gros smiley, Batman, une couverture de Charlie Hebdo ou celui, avec l’inscription sur fond rouge, «SARKOZY JE TE VOIS» !) cultive, avec une abnégation admirable, notamment le «Parti Pris de l’étranger». Réfutant le principe de «la neutralité», il a...

 

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