Gabriel Weisser est père de deux enfants, habite à proximité de la centrale de Fessenheim et se définit non comme « anti » mais bien comme « opposant », c'est-à-dire citoyen ayant d’abord droit à toute l’information.
Il raconte son « réveil » lors des annonces de la catastrophe de Fukushima, quand il s’est senti « impuissant » et confronté à une « monstruosité ».
Depuis il procède régulièrement à des relevés de radioactivité près de la centrale avec son compteur Geiger personnel et n’oublie jamais ses pastilles d’iode…
Dès 2011 il protestait contre les intervention programmées à l’initiative du rectorat dans les établissements scolaires de la Société française d’énergie présidée par AREVA pour explique le nucléaire aux enfants (faut - il dire le promouvoir ?).
Ses protestations médiatiques pour rappeler le devoir de neutralité du service public de l’enseignement ont contribué à la fin de ces interventions.
Déjà il insistait sur l’incitation à la désobéissance des responsables d’ét...