L’annonce d’un possible recours, covid-19 oblige, au traçage de nos contacts par voie de téléphone mobile, la menace que le procédé fait peser sur nos vies privées en rendant ce faisant possible de capter des données personnelles, m’a remis en mémoire une expérience déjà ancienne, où la garantie publiquement proclamée de confidentialité et d’anonymat avait été bafouée sans autre forme de procès.  

Comme je ne compte pas raconter cette histoire plusieurs fois, je mets l’occasion à profit pour y faire figurer tous les épisodes qui m’ont marqué au cours de cette expérience, même s’ils ne sont pas en lien avec le propos de l’intitulé de la contribution.

C’était en 1982, en tout début d’année. J’étais alors au chômage et l’ANPE avait communiqué mon profil à l’INSEE de Strasbourg qui me contacta pour me demander si j’accepterais de remplir une mission de délégué de cet organisme pour le recensement de la population, organisé tous les sept ans, et précisément cette année-là.
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