Il y avait les héros du quotidien que célébrait Emmanuel Macron, aux termes du premier confinement. Outre les médecins, infirmières et aides-soignantes, on y comptait pareillement les caissières, éboueurs, livreurs, agents de nettoyage, et tant d'autres, sans lesquels le quotidien aurait été chaotique.

Ceux-là occupaient "la première ligne", tandis que l’épidémie de covid battait son plein à Mulhouse, et partout ailleurs en France. Tous ces anonymes, indispensables et méconnus, sinon jamais considérés, ont conduit le Président de la République à reconnaitre que : "notre pays, tient tout entier, sur des femmes et des hommes que nos économies rémunèrent si mal".

Tous ces gens en sont pourtant à voir perdurer la même absence de reconnaissance et de dignité, qu'elle soit personnelle ou professionnelle, après 18 mois d’engagement pour faire "tenir" le pays.

Parmi ces salariés, ceux du nettoyage figurent parmi les plus mal lotis qui soient. Leurs conditions de travail sont éprou...

 

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