Les tarifs pétroliers sont volatiles, celui du gaz naturel grimpe au firmament, celui de l’électricité bat des records… Les travailleureuses n’en n’auront bientôt plus pour leurs moyens : circuler pour aller au turbin, se chauffer et se nourrir, sont déjà pour les plus modestes une impossible équation pour y subvenir à satiété. Si l’argent ne fait pas le bonheur, c’est que la richesse porte la bourgeoisie à l’ennui. Le bonheur d’un peu de chaleur dans son foyer n’a pas à être de l’ordre de l’utopie, c’est pourtant la condition sine qua non au quotidien pour tous et toutes. Ce que n’entendent pas les « investisseurs » et les Etats, prétextant du rapport de l’offre limitée avec une demande gonflée par la reprise économique (paraît-il).

Du brut au net

Rappelons une fois encore la désinformation au quotidien du Parti de la Presse et de l’Argent (PPA). Il ne viendrait à aucun de ses « agents » l’idée de relater les prix du baril de pétrole depuis une cinquant...

 

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