Ce vendredi 14 avril, dans le sillage de la validation partielle de la loi retraite par le Conseil constitutionnel, l’intersyndicale se croyait obligée de prier « solennellement » le monarque républicain de ne pas promulguer sa loi.
Étrange supplique lancée en direction de l’Olympe Jupitérien, quand le mortel Macron est tenu constitutionnellement de promulguer une loi sous 15 jours au plus.
La requête syndicale revêtait-elle une fonction interne, à l’usage du corps social abonnez-vous, à partir de 3 euros par mois seulement !