Ce vendredi 14 avril, dans le sillage de la validation partielle de la loi retraite par le Conseil constitutionnel, l’intersyndicale se croyait obligée de prier « solennellement » le monarque républicain de ne pas promulguer sa loi.

Étrange supplique lancée en direction de l’Olympe Jupitérien, quand le mortel Macron est tenu constitutionnellement de promulguer une loi sous 15 jours au plus.

La requête syndicale revêtait-elle une fonction interne, à l’usage du corps social désespérant façon Billancourt ? Mais les syndicats promettent déjà un 1er mai d'anthologie. Une fois le "deuil" consommé (l'expression est de Laurent Berger), on verra les mêmes retourner à la table des "négociations", car mine de rien, la censure du Conseil constitutionnel vient de supprimer les dispositions "sociales" que d'aucuns ont aperçu.

Plus fort encore, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) réclamait quant à elle vendredi dans un courrier adressé à Emmanuel Macron ...

 

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