Les serveurs gouvernementaux de l’autodésignée « Start-Up Nation » donnent des signes de saturation et de surchauffe dès l'entrée dans la seconde ère éducative post-confinement.

Un peu comme si aucune leçon sur les moyens engagés ne pouvait être fondamentalement tirée, et aucun « patch » informatique appliqué depuis plus d’une année, - lorsque les ratés informatiques de l’enseignement à distance issus du premier confinement avaient révélé l’état d’impréparation chronique de l’exécutif -, le second temps de pédagogisme numérique n’aura pas été plus concluant que le premier.

Les enseignants ont en effet connu au premier jour les mêmes avanies et déconvenues dès lors qu’ils se trouvaient aux prises avec des ENT (ou espace numérique de travail), qui servent à échanger en temps réel ou en différé avec leurs élèves, que ceux-ci soient gérés par des structures publiques (comme le CNED -Centre national d’enseignement à distance-) ou des entreprises privées prestatair...

 

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