Comme nombre de ses malheureux concitoyens chômeurs, notre homme est la cible de la mécanique folle de Pôle-emploi, une institution qui ressemble de plus en plus à un poulet engraissé aux stéroïdes, recherchant frénétiquement sa tête.

L'institution, qui en 2015, n'arrivait à assurer le replacement que de 13% des chômeurs inscrits, soit 1 chômeur sur 8, engloutissait pas moins de 5,5 milliards d'euros de ressources de fonctionnement en 2018 (dont 3,4 milliards de subvention de l’Unédic et 1,5 milliards d'euros de la part de l’État).

Outre un budget pléthorique qui ne cesse d’interroger, elle est en 2020, une fois encore, l'objet de sévères critiques de la part de la Cour des comptes.

Son dernier rapport (publié en juillet 2020), souligne derechef les problèmes structurels de l'opérateur national pour l'emploi, notamment sa gouvernance, le fonctionnement de son conseil d'administration, l’absentéisme de ses agents lié à leur souffrance au travail, la toute puissance et ...

 

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