Rançon paradoxale d’une gestion plus soucieuse de la biodiversité dans le cadre urbain, Mulhouse est, comme la quasi totalité des grandes et moyennes villes du pays, victime de la prolifération d’une plante herbacée saisonnière : l’épillet.

Proche visuellement d'une céréale, de type blé barbu, la plante invasive profite de la gestion dite « différenciée » des parcs et jardins municipaux pour proliférer. Les tontes y sont en effet devenues plus rares et discriminantes, de sorte à favoriser une végétalisation vivace et spontanée.

Sur le papier, il n’y aurait, a priori, rien de plus à noter.

A ceci près que les maitres de chiens, et dans une mesure moindre, les propriétaires de chats, se plaignent des conséquences que l’épillet peut avoir sur la santé de leurs animaux.

L’affaire pourrait paraitre anecdotique, voire même prosaïque, mais dans une ville dont les classes populaires sont plus paupérisées qu’ailleurs, et qui se trouvent être propriétaires d’anima...

 

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