D’r Jonathan ìsch a verdàmmter Stettkopf ! Wenn ‘r ebbiswìll vu ebr’m, losst ‘r verdüsch mi nìt luk bis àss ma nohgìtt !
La ténacité et l’opiniâtreté de Jonathan ont eu finalement raison de mes réserves à entreprendre la traduction de « Heimat untrem Hakenkreuz » (« la Heimat sous la croix gammée ») pour laquelle il me relança à plusieurs reprises. J’ai finalement cédé, et il me faut avouer que je ne le regrette pas, le travail en valait la chandelle.
J’ai ainsi découvert, aussi intimement que le permet et l’exige la nécessité de traduire, ce curieux ouvrage édité par les cheminots CGT d’Alsace-Moselle en 1953, dédié et consacré à la mémoire de la résistance essentiellement cheminote dans la région et à sa figure emblématique, Georges Wodli.
Curieux, parce que non seulement il est composé d’éléments épars, aussi inédits qu’intéressants, mais également parce qu’il pose de nombreuses questions.
La première d’entre elles m’a été posée par plusieurs personnes, dont nombre d’étrangères ...

 

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