Un long et patient travail de formatage des esprits instruit par voie de presse écrite et audiovisuelle. Voilà à quoi pourrait se résumer la conformation ou fabrique du consentement dans laquelle nous sommes plongés à l’occasion de la seconde « vague » de coronavirus, à l’instar d’une immense cohorte de somnambules.

Quelquefois l’élan catastrophiste de certains est si prompt, qu’il en dépasse en célérité leur capacité de perception. En témoigne celle du site du quotidien “Le Monde”, qui semble avoir perdu toute mesure, sans doute saisi par un délirium tremens statistique, ce 19 octobre 2020, à l’occasion de la publication d’un graphique exposant un total apocalyptique de morts en France sur une seule journée :

Bien que relativement préservée jusque ces derniers jours, la région Grand-Est, tout comme sa zone alsacienne, est également la cible d’un feu roulant de titraille de presse anxiogène et hypnotique depuis plusieurs semaines. Même son président, qui il y a quelques mois avait appuyé le couvre-feu à Mulhouse en tant que Vice-Maire (en plus du confinement !), jappe aujourd’hui devant la perspective de le voir advenir dans 5 des 10 départements que compte la région.  

Tout concourt à l’idée que la pandémie devient incontrôlable et qu’il convient de remettre le couvercle sur nos existences, en instaurant des couvre-feux qui ne font que préparer l’inévitable : un reconfinement.

Au reste, Emmanuel Macron en a évoqué la possibilité hier soir.

Un reconfinement certes, mais « à la française », bien entendu, ou si l’on préfère à la sauce sud-européenne : c’est à dire infantilisant, autoritaire et indiscriminé, en conformité avec le pire de l’expressivité jacobine.

C’est que la Science infuse du “conseil scientifique”, toujours non dissout (alors que l’on évoquait cette possibilité il y a quelques semaines encore), a fait connaitre son augure, complaisamment relayée par le double quotidien unique, désormais spécialisé en alarmes et klaxons à coloration informative : L’Alsace.

Si “tout est sur la table”, comme l’annoncent déjà les augures du “conseil scientifique”, alors il serait peut-être temps de la renverser. Il est en effet urgent de réfléchir aux multiples et redoutables conséquences d’un reconfinement, plutôt que de consentir aveuglément au prétexte d’un conditionnement d’opinion. Sauf à devenir les assujettis volontaires d’une prison à ciel ouvert, soumis à des expérimentateurs en blouse blanche, à l’instar de l’expérience de Milgram (qui évalue le degré d’obéissance d’un individu devant une autorité) exigeant que nous exécutions leurs directives, quel qu’en soit le prix.

Toutefois, cela ne nous empêchera peut-être pas, une fois encore, de nous frotter à nouveau au mur du çon. Préparez-vous donc à produire vos « attestations dérogatoires de sorties » devant le premier guignol venu. Les libertés d’aller et venir étant remisées aux calendes grecques, à défaut d’aller s’y faire voir.

A Lutterbach, où réside un rédacteur d’Alterpresse68, entre mars et avril dernier, c’était promenade autorisée à condition de se trouver seul, que l’on vive en famille ou non, y compris pour les enfants, selon les consignes de la remarquable et très indispensable police municipale d’un village-dortoir de 5000 habitants.

A quand les masques obligatoires dans les familles, et vos enfants présentés en assassins potentiels ? Bingo ! c’est précisément ce que vient de déclarer notre tête à claques de sinistre de la santé :

 « Si vous souhaitez recevoir des amis, même si vous recevez votre famille, vos enfants, vos petits-enfants, vous devez garder de la distance. Vous devez porter le masque et faire extrêmement attention autour de vous”, a ainsi insisté le ministre de la Santé ce jeudi, avant d’ajouter : “Il arrive hélas de tomber sur une personne qui était contagieuse sans le savoir et de se retrouver soi-même, quelques jours ou quelques semaines plus tard, à l’hôpital ».

Peut-on vivre à ce point délié des liens sociaux élémentaires qui nous façonnent, au point de devoir soustraire notre visage devant les siens, jusque chez soi ? Pour l’exécutif, c’est une évidence, qu’ils s’appliqueront sans doute à eux-mêmes…

Le fait avéré est que, comme le rappelle l’un de nos récents articles, 25% des contaminations se font sur le lieu de travail, selon un rapport de Santé Publique France, portant sur 357 nouveaux foyers de contamination recensés en France la semaine du 5 au 10 octobre.
Suivent le milieu scolaire et surtout les universités. En troisième position, on retrouve ainsi les établissements de santé, comme les hôpitaux ou les cliniques : ils représentent une contamination sur dix.

Rajoutant une couche sur le trauma collectif, L’Alsace publie une brève à la Une de son site internet, le 22 octobre à 8h46 : « Sur LCI ce jeudi matin le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal déclare : “On prend toutes ces mesures pour que les Français puissent fêter Noël en famille”. “A ce stade, il n’y a pas de reconfinement prévu du pays.” »

Une situation d’autant plus absurde dans nos contrées que les villes alsaciennes sont déjà en train de sacrifier leur traditionnel marché de Noël : Strasbourg vient d’annoncer qu’il n’y aura pas de chalets, mais une sorte d’itinérance artistique qui risque de laisser de marbre bon nombre d’amateurs de fééries noëlesques. Colmar va sans doute suivre le mouvement, tandis que Mulhouse feint de faire de la résistance.

Tout se passe comme si, en proie à des vapeurs de panique, nous devrions succomber à une forme aiguë de délire somnambulique, lequel mènera l’ensemble du corps social dans un mur, celui d’une barbarie économique à venir.

Cet engourdissement des esprits est si prégnant que le lecteur finirait par en oublier un élément capital, tant il est surchargé de stress (médiatique) post-traumatique.

Souvenons-nous en effet de ce qui était répété en mars et avril dernier. Le directeur de l’ARS, Jérôme Salomon (lequel a comparé le coronavirus à la peste noire de 1348, touchant 30 à 50 % des Européens en cinq ans [1347-1352] et provoquant 25 millions de victimes), venait chaque soir faire le décompte des morts de la veille à la télévision.

Cette information, avec le nombre de personnes en réanimation, étaient les seules qui prévalaient, comme il se doit, évidemment, lors d’une épidémie. D’autant que les tests étaient rares, et que pour toute prophylaxie, le corps médical conseillait à ceux ou celles qui se savaient malades de bien vouloir rester chez à croquer du paracétamol, en attendant la décompensation respiratoire fatale...

Une attitude scandaleuse et contraire à toute éthique et approche médicale décente, où le médecin a pour devoir de « prendre soin », selon ses moyens et sa conscience. Et quoi qu’il en soit d’isoler pour ne pas diffuser le mal.

Aujourd’hui, relayé en cela par le mécanisme grégaire de l’information, semblable à un animal acculé dans son terrier : on ne communique plus que sur le chiffre des cas, forcément important depuis que l’on teste sans condition et justification médicale, alors que c’était l’exact opposé en mars et avril dernier. Ce faisant, l’effet d’épouvante est garanti auprès de l’opinion publique, tandis qu’elle semble déjà prête à céder tout ou partie de ses libertés pour escompter quelque sécurité d’occasion.

Peu important que la technique du coefficient d’amplification d’ADN in vitro via PCR dépasse trop souvent les 30 cycles en France, avec pour résultat de révéler positif un nombre considérable de personnes non malades et non contaminantes, mais qui portent en elles des traces ARN du virus, prouvant de ce fait une très large diffusion au sein de la population.

Car l’enjeu est bien là : savoir quel est le nombre de cycles d’amplification PCR appliqué d’une part, mais surtout mesurer la CHARGE VIRALE que l’on porte en soi. Une donnée jamais rapportée aux personnes déclarées positives, qui ferait pourtant toute la différence en matière de profil clinique !
Et ceci pour une raison simple: on ignore à ce jour où se situerait exactement le seuil minimal de charge virale pour être symptomatique ou contagieux
Un article du New York Times paru le 29 août dernier, pointe par ailleurs l’insuffisance de la seule réponse binaire au test PCR (« oui, vous êtes positif », ou « non vous ne l’êtes pas ») pour servir d’indicateur sur le fait qu’un sujet est en phase d’infection active, et donc contagieux.
Or d’après un épidémiologiste de l’école de santé publique de l’Université de Harvard, « la réponse “oui” ou “non” ne suffit pas, c’est la quantité de virus qui devrait dicter la marche à suivre pour chaque patient infecté ». En somme, il est impossible de dire si un patient reconnu positif est “malade”, sauf à le déterminer en fonction de ses symptômes…

Ce faisant, de très nombreux graphiques illustrent combien la décorrélation est nette entre le nombre de contaminés (ou porteurs de traces d’ARN) et celui des décès : ce dernier indicateur devant guider toute politique d’urgence sanitaire en France et dans les pays européens :

De toute évidence, c’est bien le contraire auquel nous assistons : les restrictions se multiplient sous la forme de « couvre-feu », terminologie propre à réamorcer la pompe à rhétorique guerrière, chère à ce gouvernement d’impotents notoires.

Que ce “couvre-feu” (ou confinement nocturne) n’ait jamais prouvé son efficience (même en Guyane, où la baisse des cas est synchrone avec celle du continent sud-américain), pas plus qu’il ne l’ait fait en mars-avril, à Mulhouse notamment, n’y change rien.

Voyons à présent de manière imagée, les quelques titres employés par la presse quotidienne régionale du groupe EBRA (L’Alsace et les DNA essentiellement), bien que tous les titres du groupe de presse soient désormais identiques, comme l’est la plateforme internet sur laquelle on les visualise.

Le titre ne s’embarrasse pas de détails. L’article n’apprend rien que l’on ne se sache déjà et la « terrifiante » hausse de la mortalité revient à faire état du nombre de décès à travers le monde, soit 1 100 000 pour 41 624 000 cas positifs. Une information répétée en boucle depuis des semaines. Pourtant, les lecteurs ont droit quotidiennement à ces titres à tonalité alarmiste.

Voyez maintenant les graphiques proposés par un site de collationnement statistique des plus instructifs:

Source : Worldometers A gauche le nombre de cas quotidiens, à droite les chiffres de la mortalité quotidienne

Le site Worldometers publie chaque jour le détail des contaminations, décès, tests etc. sur le coronavirus (et de nombreuses autres statistiques en temps réel !). On y voit clairement qu’au niveau mondial (au 23 octobre 2020) si le nombre de cas augmente de 100 000 ces derniers jours, la mortalité stagne à une moyenne de 6000 par jour, et cela depuis le mois de mai !

Le Grand-Est a-t-il été préservé de la seconde vague attendue avec l’impatience d’un enfant à la veille de Noël ? Qu’à cela ne tienne : il va se la prendre, certes, mais en décalage. La preuve par le graphique suivant :

Et pour le Haut-Rhin, qu’en est-il (au 23 octobre) ?

Et le Bas-Rhin ? (au 23 octobre) :

De toute évidence, au regard des données de Santé Publique France, il n’y a pas de flambée épidémique en Alsace, pour le moment. De même que la hausse est modérée dans le Grand Est. De ce fait, rien ne saurait justifier une invraisemblable chape de plomb que constituerait un confinement systémique, à partir de ces seules données statistiques.

Un épouvantable choc économique risque d’advenir pour héritage direct du confinement du printemps dernier. Le fait est certain, y compris pour l’exécutif, dès lors que les perfusions d’argent public auront cessé d’irriguer le patient national. Voyons à ce sujet ce que l’on peut en tirer comme enseignement.

Ci-dessous un graphique que le journal L’Alsace s’est obligé à publier à l’appui d’un article alarmiste paru quelques jours plus tôt, et qui vient répondre de manière explicite à la question centrale : les confinements sont-ils utiles ? Voyez par vous-même ce graphique éloquent :

La source est irréfutable : il s’agit de l’Université Johns Hopkins aux États-Unis, considérée comme la référence mondiale en matière d’études statistiques médicales et épidémiques.

On y voit la courbe des décès cumulés depuis mars 2020 dans le monde. Le rectangle de couleur bleu clair illustre combien le confinement mondial n’aura tendanciellement servi à rien quant à la mortalité, même s’il a pu rompre la dynamique virale dans une certaine mesure. Ici, comme on le voit, la courbe s’aplatit légèrement au début des phases de confinement, puis rejoint une lignée ascendante continue.

Outre la carte présentée plus haut, voici une autre illustration empirique par l’exemple du modèle argentin (source Johns Hopkins, datée du 20 octobre 2020). On voit dans le carré jaune situé en bas à droite que la hausse des cas y est exponentielle, alors que le pays est confiné depuis le 14 aout !

Une lueur de bon sens se lève également à travers une institution internationale. Quelques mois après le confinement d’une partie du globe pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 – et alors que les couvre-feux instaurés entre 21 h et 6 h du matin se multiplient dans les départements français –, l’Organisation mondiale de la santé, c’est à dire l’agence de l’ONU pour la santé publique, vient de souligner l’inutilité de cette mesure.

Revenant sur sa position initiale sur le Covid-19, l’agence de l’ONU appelle les dirigeants mondiaux à cesser de verrouiller leurs pays et leurs économies !

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’OMS, a lancé un appel aux dirigeants mondiaux hier, leur disant d’arrêter : « C’est une terrible, épouvantable catastrophe, en fait. Donc, nous en appelons aux leaders du monde : arrêtez d’utiliser le confinement comme principale méthode de contrôle du coronavirus. »

David Nabarro ajoutant que « Les seules fois où nous croyons qu’un confinement est justifié, [c’]est afin d’acheter du temps pour la réorganisation, le regroupement et la calibration des ressources [et] d’aider le personnel de santé qui est exténué, mais en général, nous préférons ne pas le faire ».

Autrement dit, le confinement ne sert à rien, c’est aujourd’hui confirmé par l’OMS, mais cela permet de “lisser” les entrées à l’Hôpital, quand celui-ci a été rendu déficient pour en absorber le choc.
Point de fuite impardonnable de la part du journalisme proclaustration : sachant qu’au moins 100 000 lits d’hôpitaux ont été perdus depuis 20 ans en France, du fait de politiques publiques de démembrement systémique des hôpitaux, et que la politique de « numerus clausus » opérée depuis 40 ans en faculté de médecine a privé la population française de plusieurs dizaines de milliers de médecins, quelle confiance accorder aujourd’hui aux pouvoirs politiques qui auront facilité son appauvrissement ?
Problème subsidiaire : en raison des motifs rappelés précédemment, comment ce pouvoir politique peut-il prétendre « sauver la population » et protéger le personnel de santé épuisé, ayant lui-même sciemment organisé l’incapacité de l’hôpital public à prendre en charge les malades du covid (dans la continuité des pouvoirs précédents) ?
D’où le caractère nécessaire (et que l’on sait inepte) du confinement !
Paupérisation de franges entières de la population

En 2020, en conséquence du confinement, un million de Français ont basculé dans la pauvreté au cours de la crise sanitaire. Les étudiants, les intérimaires, les chômeurs, mais aussi des entrepreneurs et artisans constituent les catégories les plus vulnérables.

Les besoins en aide alimentaire ont bondi. La Fédération française des banques alimentaires a ainsi augmenté ses distributions de 25 %. Le ministère de la Santé estime, début septembre, que 8 millions de personnes ont besoin de cette aide, alors qu’elles n’étaient que 5,5 millions en 2019.

Au niveau mondial, selon de la Banque mondiale, 150 millions de personnes ont plongé dans la pauvreté à cause des effets de la crise sanitaire.

Les experts alertent, par ailleurs, sur une famine qui pointe à l’horizon dans les régions où les États sont faibles et où la pauvreté était déjà répandue à grande échelle. Les prévisions de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation (FAO) sont glaçantes, tandis que les dirigeants des plus grandes puissances mondiales admettent que la crise à venir est pire que toutes celles qui ont précédé…

Conséquences sur l’emploi et l’assurance chômage

Le régime de l’assurance-chômage enregistre un déficit « d’une ampleur inédite »: l’Unédic (en charge de sa gestion) pourrait ainsi être amenée à indemniser quelque 420 000 personnes supplémentaires. Les allocations versées aux demandeurs d’emploi progresseraient de 4,1 milliards d’euros, fin 2020, et le déficit atteindre 18,7 milliards d’euros.

Une note de synthèse publiée par la Région Grand Est indique notamment ceci :

Effets psychiques: stress, violences domestiques…

Le contexte épidémique est source de stress. L’isolement au domicile ou dans un lieu dédié à la quarantaine, auquel le public est rarement préparé, peut avoir des effets psychologiques importants. Une étude du Lancet documente l’ensemble de ses effets délétères, parmi lesquels l’anxiété, le fléchissement de l’humeur, l’irritabilité, l’insomnie, les symptômes relatifs à l’état de stress post-traumatique ont été relevés.

Par ailleurs, à fin mars 2020, le nombre de signalements de violences conjugales était en hausse de 30%

Sans même évoquer les effets du confinement sur la vie privée et les modes de sociabilité…

“15 à 20 % des personnes qui rentrent en réanimation n’en ressortiront pas vivants” clame le gouvernement dans sa déclaration quotidienne aux Français, que l’on espère terroriser comme un enfant devant le croquemitaine.

Il convient surtout de ne pas rappeler qu’il s’agit de nonagénaires, octogénaires et septuagénaires pour 90% d’entre eux, sujets à des comorbidités, et dont l’espérance de vie était très faible. Et que certains parmi eux ne sauraient supporter un placement sous respirateur artificiel.

Énoncé en perspective, on comprend que le désastre socio-économique induit par les pouvoirs publics tout le long des dernières décennies, à raison de sa gestion décroissante des moyens humains et matériels hospitaliers, outrepasse largement la seule crise sanitaire actuelle. Ses conséquences échoiront aux seules jeunes générations d’actifs, qui risquent de devoir l’assumer et le solder socialement.

Car il n’y a hélas aucune raison de penser que le système économique changera de nature, d’orientation ou de priorité, avec l’agenda d’un gouvernement aussi réfractaire à tout changement de cap. Ou qu’il se montrera plus spontanément résilient, bienveillant et solidaire envers les plus jeunes, qu’il a pu l’être pour les ainés. Sauf à le mettre à terre, ce qui est très loin d’être assuré.

En protégeant inconditionnellement les personnes les plus vulnérables, et les plus avancées en âge, que ce soit à l’hôpital, dans les EHPAD ou à domicile, aux moyens de toutes les prophylaxies nécessaires (distanciation, masques, lavage de mains etc.), et en leur prodiguant les meilleurs soins médicaux disponibles, il convient pareillement d’admettre que le devoir unitaire d’une société est de rendre possible l’avènement d’un futur décent et soutenable à celles et ceux qui en assureront la continuité effective, c’est-à-dire les plus jeunes parmi nous.

A cet égard, un confinement général et indiscriminé serait un choix socialement injustifiable de la part du gouvernement, d’autant plus quand la situation sanitaire dans notre région ne saurait contraindre à de telles extrémités, que même l’Organisation Mondiale de la Santé réprouve aujourd’hui.

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