On avait laissé l'éditorialiste de L'Alsace, Laurent Bodin, transi d'émotion, et relatant avec force détails la larme à l'oeil qui vint sans venir de la ministre de la Transition écologique Pompili, alors qu'elle surgissait des profondeurs de Stocamine (ou elle fut la seule ministre à s'y rendre). Ses yeux n'étaient pas rougis par des motifs allergiques, mais pour des raisons d'histoire familiale personnelle. C'était beau.

On retrouve donc Bodin reporter tentant d'exposer les motifs qui virent la ministre choisir de confiner définitivement les déchets, puisque "les conditions de déstockage ne sont pas réunies". En pariant alors pour que, d'ici "600 à 1000 ans" seules des "quantités extrêmement faibles" de polluants viendront empoisonner l'eau de boisson des alsaciens du futurs...

"Une décision sage et responsable", à en croire son indispensable billet quotidien, à lire de préférence après avoir avalé 3 anxiolytiques.

La décision tomba drue du ciel parisien, alors que la qu...

 

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